Saturday, July 18, 2009

Prise de Conscience Mauricienne


Hello all,

Hope you had a good week.
Sorry for the lack of post yesterday, it was a really busy day.

Today, i was surfing on www.lexpress.mu, Mauritian Newspapers, when i saw this article :

C’est un fait : le Mauricien moyen se dit conscient de son environnement. Reste à le traduire dans les faits. Si le chemin vers une véritable conscience écologique semble encore long, ils sont plusieurs à oeuvrer pour une île durable.

Réveiller la conscience écologique.Amener le Mauricien à s’en soucier davantage. Comment ? En touchant directement... son porte- monnaie. En effet, une récente campagne d’affichage, « To G- T, To TA- C » , vient rappeler aux citoyens leur devoir civique. Mais la population mauricienne en a- t- elle besoin ? En guise de réponse, une seule autre question : que faites- vous pour l’environne - ment ? « Pas grand- chose » , avoue Nadeem, un peu gêné. « Je ne jette pas mes papiers dans la nature », reprend en choeur la plupart.

Les plus jeunes comme Jayala, Grégory, Laurent et Steven, collégiens, haussent des épau les à l’évocation du sort de mére Nature. D’autres se montrent tout de même respon sables : « Je trie mes déchets. C’est important » , déclare Rashka. Résultat : une mention tout juste passable pour l’éléve mauricien.

Le bilan vire au médiocre si l’on prend en compte les 4 500 plaintes pour atteinte à l’environnement et 9 000 procés- verbaux dressés en 2008 par la Police de l’environne - ment. Des chiffres en légére baisse mais encore trop élevés.

Because we have a police for the Environment ? Didn't know that.

« Les Mauriciens commencent à réaliser que l’environnement est un probléme fondamental. La cons cience écologique vient de naître. Elle doit se développer et surtout être nourrie » , affirme Karim Jauferrally, président de l’ Institute for Environmental and Legal Studies ( IELS), une ONG écologiste.

Yes, Mauritius is starting to think, but between the thought and the action there is a big Gap. Everything is still related to money. If the country had a Budget for the environment, you can be sure that Mauritius would be more green. (Eg Reunion Island)

Selon lui, l’effort doit se concentrer sur l’individu : « La prise de conscience passe par l’éducation et l’exem ple. Encourager le compostage à domicile, la culture d’un potager, la cuisine d’aliments sains sont autant de points d’entrée vers la cons cience écologique. L’exemple doit venir du gouvernement et des entreprises privées. »

He is right. The example must come from private company and government. But it's starting. MCB is very involved.

But i don't think that, Mauritian are ready to change their consumption way. we are still a country in development, we shouldn't forger that.

Lormus Bundhoo, ministre de l’Environnement, reconnaît l’ampleur de la tâche : « Nous sommes cons cients que nous avons encore beaucoup à faire : développer une culture écologique n’est pas aussi facile que ça. Surtout face à plusieurs défis économiques. Malgré tout, il nous faut trouver l’équilibre entre protection de l’environnement et développement économique. » Le gouvernement travaille sur un projet pour intégrer l’éducation au développement durable dans les programmes scolaires.


D’autre part, certains citoyens n’hésitent pas à se substituer aux municipalités pour faire avancer la cause écologique.

Really ?! Good idea. But there should be a website or something to let us know what kind of organisations have already been started.

C’est le cas de Robert Bouic, président de Mission Verte , une association qui a déjà installé 11 dépôts de tri sélectif sur l’île en moins d’un an. « Les Mauriciens sont demandeurs mais tous ne feront pas l’effort de se déplacer pour trier leurs déchets.Idéalement, il faudrait des poubelles de tri à domicile et que les municipalités se chargent du ramassage » , explique- t- il.

Definitely going to contact him.

Des entreprises privées commencent aussi à se mobiliser. Vendredi et same di derniers, l’agence de publicité Amadeus organisait au Caudan deux projections publiques de Home , film du photographe français Yann Arthus- Bertrand diffusé dans 180 pays. « Un moyen de faire entendre le cri de la planéte » , commentait Ashraf Oozeerally, l’organisateur. En - tendre ce cri est une premiére étape. Tout mettre en oeuvre pour le faire cesser en est une autre.

« La prise de conscience passe par l’éducation et l’exemple. Encourager le compostage à domicile, la culture écologique, n’est pas aussi facile que cela. »

Well i would like to say, wait and see, but we can't wait, we have to proactive now !

Source : http://www.epaper.lexpress.mu/epapermain.aspx#

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